Fête du travail en mer
Avec un grand classique, des bords de spi asymétrique en baie de Seine avec un Nordet de 14 à 16 noeuds; un plaisir toujours renouvellé.
Après le tribord amures,
voici la vison de l'autre coté,
le bâbord amures.
Le souvenir que garde via mon journal de bord est, sur le retour du lendemain, un sassage à Deauville vraiment au delà du raisonnable; en effet, retournant au moteur et déjà limite pour le dernier sas, l'alarme de température d'eau se mit en route; le moteur est éteint et les voiles remises; mais le vent faible me traînait lentement vers Deauville et j'étais quasiment certain de rater le sas; mais une obscure urgence du lendemain matin dans ma "big pharma" m'ordonnait de poursuivre.
En vue du sas, et pas découragé de voir sa lumière mise sur le rouge, j'ai rallumé le moteur qui avait pu refroidir et passais un coup de fil par VHF l'éclusier en lui demandnat s'il pouvait m'ouvrir dans le cas où je parvenais à la souille; cette endroit est la partie juste avant la porte aval avec il y a un peu plus de profondeur à cause de l'effet de lavage que fait l'eau qui sort; il me donna son accord, je suis sur qu'il était dubitatif.
Et alors je mis la puissance et, à la vitesse maximum, je fonçais confiant dans mon cerveau reptilien qui avait du graver les profondeurs d'eau disponibles pour avoir si souvent contemplé la disposition des bancs de sable pour une 'arrivée devant Deauville à marée basse; pourquoi le cerveau reptilien ? Mais c'est bien là que les souvenirs et apprentissages fondamentaux et importants sont stockés !
La quille racla un peu le sable; et je me suis retrouver juste sous la porte de l'écluse, dans cette souille espérée; par VHF le message de victoire fut transmis à l'éclusier; j'y étais, à quelques mètres de la grande double porte du sas; et il me confirma qu'il préparait celui-ci.
Ultime et terrible rebondissement, la préparation du sas commençait par une vider ce sas des centaines de tonnes d'eau qu'il contient pour le mettre à niveau de l'eau extérieure; et j'ai vu les tonnes et tonnes d'eau de mer qui d'habitude creuse cette souille arriver sur farfa; ce torrent liquide me poussait sur les bords de cette souille, et j'ai vraiment senti la quille de farfa recommencer à racler le sable et être bloqué sur les bords remontants de la souille.
Un vrai moment de désillusion a suivi, arriver si près du but et être refoulé si lamentablement; le moteur n'étant plus chaud, je pus lui redemander un ultime effort et; quand le flot de l'eau venant du sas commençait à être moins fort, les 21 chevaux de mon Nanni purent, centimètre par centimètre faire bouger farfa de sa gangue de sable et l'amener dans un ultime sursaut dans le sas; l'éclusier me regarda avec un mélange d'amusement de d'étonnement entrer entre les deux portes du sas.
En vue du sas, et pas découragé de voir sa lumière mise sur le rouge, j'ai rallumé le moteur qui avait pu refroidir et passais un coup de fil par VHF l'éclusier en lui demandnat s'il pouvait m'ouvrir dans le cas où je parvenais à la souille; cette endroit est la partie juste avant la porte aval avec il y a un peu plus de profondeur à cause de l'effet de lavage que fait l'eau qui sort; il me donna son accord, je suis sur qu'il était dubitatif.
Et alors je mis la puissance et, à la vitesse maximum, je fonçais confiant dans mon cerveau reptilien qui avait du graver les profondeurs d'eau disponibles pour avoir si souvent contemplé la disposition des bancs de sable pour une 'arrivée devant Deauville à marée basse; pourquoi le cerveau reptilien ? Mais c'est bien là que les souvenirs et apprentissages fondamentaux et importants sont stockés !
La quille racla un peu le sable; et je me suis retrouver juste sous la porte de l'écluse, dans cette souille espérée; par VHF le message de victoire fut transmis à l'éclusier; j'y étais, à quelques mètres de la grande double porte du sas; et il me confirma qu'il préparait celui-ci.
Ultime et terrible rebondissement, la préparation du sas commençait par une vider ce sas des centaines de tonnes d'eau qu'il contient pour le mettre à niveau de l'eau extérieure; et j'ai vu les tonnes et tonnes d'eau de mer qui d'habitude creuse cette souille arriver sur farfa; ce torrent liquide me poussait sur les bords de cette souille, et j'ai vraiment senti la quille de farfa recommencer à racler le sable et être bloqué sur les bords remontants de la souille.
Un vrai moment de désillusion a suivi, arriver si près du but et être refoulé si lamentablement; le moteur n'étant plus chaud, je pus lui redemander un ultime effort et; quand le flot de l'eau venant du sas commençait à être moins fort, les 21 chevaux de mon Nanni purent, centimètre par centimètre faire bouger farfa de sa gangue de sable et l'amener dans un ultime sursaut dans le sas; l'éclusier me regarda avec un mélange d'amusement de d'étonnement entrer entre les deux portes du sas.
Cette arrivée restera comme un must de sassage à Deauville, dans le style séquence émotion.
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