C'est le retour,
plus musclé que prévu,
........et avec ma fillecomme équipière
Arrivé assez tard à Paimpol, plus de 9 heures du soir, je pris la place que le harbour master m’avait donnée.
Et nous pûmes trouver un restaurant ouvert pour un diner à trois ; ma femme nous avait réservé un hôtel, et ma fille devait dormir sur farfa II, elle et son ….... chat; ou plutôt sa chatte, elle s’appelle "Muse", et allait faire partie du voyage et de la croisière, ce qui veut dire aussi "pas d'anglo" cette année.
Et nous pûmes trouver un restaurant ouvert pour un diner à trois ; ma femme nous avait réservé un hôtel, et ma fille devait dormir sur farfa II, elle et son ….... chat; ou plutôt sa chatte, elle s’appelle "Muse", et allait faire partie du voyage et de la croisière, ce qui veut dire aussi "pas d'anglo" cette année.
Le projet du lendemain est l’île de Bréhat, ma femme va y aller avec une des vedettes, et je vais y aller avec farfa II ; départ vers midi avec le dernier sas du jusant et retour le soir à l’ouverture du flot ; entre les deux une belle marée basse qui nous permettra de profiter du spectacle des rochers de granit rose. Une nouvelle fois, cette navigation fut bien améliorée par ce GPS / lecteur de carte ! Au diable le renoncement à la facilité !!! Lire et comprendre sa position en temps réel, voir les écueils défiler sur l’écran, et les voir défiler en vrai en levant la tête procure une impression d’une si grande facilité que cela en deviendrait presque indécent.
Et imaginer comment ils devaient faire « avant » avec des cartes si peu fiables et des moyens de se positionner si primaires ; un coup d’œil sur des alignements pour la navigation quotidienne, au mieux un compas pour les situations plus compliqués.
Et imaginer comment ils devaient faire « avant » avec des cartes si peu fiables et des moyens de se positionner si primaires ; un coup d’œil sur des alignements pour la navigation quotidienne, au mieux un compas pour les situations plus compliqués.
Nous avons traversé ce semis d’ilots, et sommes arrivés au sud-est de l’ile de Bréhat, et nous nous sommes ancrés dans un endroit appelé chaudière de mémoire et nous avons pu admirer les reflets chatoyants du granit rose qui apparaissait avec la marée descendante. Une fois l’annexe gonflée, nous sommes allés à terre retrouvé mon épouse et nos balader sur cette île.
Mais, par cette belle journée de la fin du mois de juillet, du monde il en avait ! Certes, j’ai l’habitude de dire que l’on ne peut raisonnablement être contre la démocratisation du tourisme ; mais il est presque pénible de se retrouver dans une ambiance de foule compacte alors que l’on pratique la voile, le plus souvent en solo, pour bénéficier de la calme quiétude des moments de vraie solitude quand celle-ci est volontairement recherchée.
Après cette balade, nous avons raccompagné madame a sa vedette, et nous sommes rentrés sur farfa II pour le retour, le flot ayant commencé. De nouveau, navigation en slalomant entre les rochers ; avec un vent léger, j’ai rapidement mis le moteur, il est plus prudent de n’avoir à faire que la navigation, l’œil rivé sur le GPS tout en surveillant tous ces rochers.
Nous sommes arrivés en fin d’après-midi, tout en surveillant le sondeur, en remontant le chenal vers Paimpol ; jamais plus d’un ou deux mètres sous la quille ! Heureusement, la mer était très belle et la navigation au moteur sans aucun problème ; mais au vue de l’étroitesse de ce chenal, il ne doit faire bon de se retrouver en situation difficile, avec de la mer, dans ce coin.
A partir du lendemain, la navigation se faisait avec ma fille, et son chat, comme équipage. Gros changement d’ambiance à bord de farfa II ! Maintenant, il me faut naviguer à deux voir trois.
La première étape nous entraine vers l’est, avec comme objectif Saint Quay Portrieux ; la sortie de Paimpol s’effectue au près, avec de nouveau une navigation dans les rochers.
Une fois sortie du chenal de Paimpol, nous logeons la cote avec d ‘abord du courant favorable. Une fois passé le 1er cap qui délimite l’entrée sud de Paimpol, la cote change du tout au tout. A la place d’une cote plate avec de nombreux rochers éparts, nous avons de belles collines tombant dans la mer, et cela tout au long de larges criques.
La navigation consiste à passer d’une crique à l’autre, et en dépit du vent mollissant, et de rejoindre ainsi notre objectif ; le moteur nous a régulièrement aidés. Durant cette navigation, nous avons navigué de concert avec un voilier « voile aviron » qui possédait un gréement au tiers ; j’étais vraiment peiné de l’avoir doublé si rapidement, car il ne faisait que des bords carrés.
En milieu d’après-midi, nous arrivons en vue de Saint Quay Portrieux, en passant entre la cote et un petit groupe d’iles près de celle-ci ; ce port est du style « grosse digue toute neuve » c'est-à-dire qu’il a été bâti en construisant une grande digue semi-circulaire à l’aide de gros blocs de granit, et comme les constructeurs ont voulu faire un port à flot dans une zone de fort marnage, la hauteur de la digue est énorme, dans les 10 à 12 mètres. Le résultat est efficace, mais on ne peut le qualifier d’esthétique, avec entre autre des passerelles d’accès aux pontons éloignés et pentus.
Enfin, alors que j’accédais au ponton, mon moteur a recommencé à faire des signes, s’étouffant puis s’arrêtant. Nous avons quand même pu prendre ce ponton, le moteur ayant accepté de redémarrer ; puis nous sommes allés manger à un restaurant qui portait une enseigne « service à toute heure », alléchant car il était plus de trois heures de l’après midi. Hélas, il ne s’agissait pas du vrai menu à toute heure, comme on peut le trouver dans les brasseries parisiennes, mais que juste quelques parties du menu et je crois avoir mangé une pizza surgelée, qui a été suivi d’une bonne sieste.
Le soir, diner au casino de Portrieux, il y a en fait deux villes Saint Quay, ville neuve avec son port, et Portrieux la vieille ville. Après ce diner, chacun a vogué à ses occupations habituelles, casino pour ma fille et dodo pour moi !
Le lendemain, j’ai pris la décision de faire venir un mécanicien, car il fallait que je puisse avoir un vrai avis sur mon moteur, ces arrêts sont-ils graves ou bénins ? Est-il raisonnable de continuer à naviguer avec ce problème ? Et que peut-on faire pour les éviter ? Le mécano est venu en fin de matinée ; son diagnostic a confirmé la présence d’air dans le circuit de gazole, mais surtout il m’a appris comment purgé « vite et bien » un circuit de gazole. J’étais rassuré et près à continuer notre croisière estivale. L’après-midi fut très pluvieuse et nous fîmes quelques courses en ville ; pour la soirée, même programme que la veille.
Le lendemain, départ pour Saint Malo ; je fais les manœuvres seul, car ma fille dort ; le temps est tonique, avec du soleil mais aussi un vent de Ouest-Nord-Ouest, donc portant, dans les 15 à 20 nœuds, et farfa II roule dans une mer qui est quasiment formée. Après avoir paré les iles en face de Saint Quay, c’est la traversée de la baie de Saint Brieuc puis cap vers le Phare de Fréhel.
Cette étape restera un mauvais souvenir pour mon équipage qui, entre la fatigue d’une soirée bien arrosé et le roulis du bateau, souffre du mal de mer, qui ne passe pas malgré la Nautamine. Il il est vrai que nous voyons de la mer, en passant devant le Cap Fréhel avec vent contre courant nous avons droit à un vrai petit raz ! Belles vagues dont le rendu, en photo, est comme d’habitude moins spectaculaire qu’en vrai.
Après ce cap, la navigation est plus souple, et mon équipage retrouve des couleurs
L’arrivée à Saint-Malo est, comme la dernière fois, très intéressante au point de vue navigation ; une nouvelle fois, le GPS lecteur de cartes visible du cockpit a fait merveille, et a pu remplacer de très nombreux allers-retours entre la table à cartes et le cockpit; nous passons près du Phare du Grand Jardin, drôle de nom pour un Phare !
Nous arrivons au début du flot au port des Sablons, donc avec suffisamment d’eau sur le seuil, et un zodiac nous désigne une place ; la sortie du ponton, dans cet autre port quasiment à flot avec un fort marnage, est de nouveau un exercice d’alpinisme, avec une passerelle inclinée à un fort angle. Après quelques courses, nous traversons l’isthme et allons dans un restaurant en face du fleuve « La Rance » ; pas si facile de se faire servir en pleine saison !
Le lendemain, le cap est mis sur Granville, météo agréable avec quelques nuages, mais avec un vent assez faible ; la sortie de Saint Malo se fait par la passe Nord Est, au milieu de très nombreux cailloux ; en milieu d’après-midi, le vent augment doucement et je sors le spi symétrique, permettant à ma fille s’initier à la barre sous spi, ce qui est assez sportif. Après ces efforts un peu de réconfort
En face du Mont Saint Michel, nous avons la chance d’être escorté pendant une demi-minute par un dauphin ; c’est la première fois de cela m’arrive dans les anglo-normandes, endroit où l’on dit qu’il y en a pas mal.
Arrivée à Grandville en fin d’après-midi, RAS au niveau de la prise de ponton ; la météo est défavorable pour les jours suivants et j’ai proposé de faire juste un stop & go et de repartir dés le lendemain matin pour Diélette ; mais ma fille me dit qu’elle ne souhaite pas naviguer le jour de son anniversaire, qui tombe le lendemain ; nous resterons donc deux jours à Granville, ce qui fera surtout deux grandes soirées de casino pour mon équipage.
Après cette étape, direction Diélette avec un départ en fin de matinée, le temps que la porte à seuil ouvre et laisse passer les 1,6 de tirant d’eau de farfa II ; il faut être patient car les vedettes, qui souvent cale 50 à 60 centimètres peuvent sortir AVANT que le seuil sous-marin ne s’affaisse.
Durant cette navigation, et après avoir passé pour la 1ère fois le Passage de la Déroute (encore un nom rassurant) je suis surpris par une alarme qui faisait "bip" "bip"; voyons d’où cela peut-il venir ? Après avoir fait de tour de mes (trop nombreux) instruments qui ont une alarme, je découvre, incrédule, que c’est mon baromètre qui est en mode alarme ; or le temps est clair, le vent modéré, farfa II avance sur une mer d ‘huile à une vitesse plutôt faible.
La courbe des pressions récentes est très nettement descendante, et le "bip" d’alarme indique une baisse si brutale du baromètre qu’une tempête n’est pas loin. Je savais que la MTO était pour le moins défavorable pour le lendemain, et qu’un vent fort était prévu, mais de là à avoir une tempête !!
Le plus étrange fut que l’alarme se déclencha une deuxième fois, juste avant d’arriver au port de Diélette ; je savais maintenant d’où venait ce "bip" "bip" et constata que le petit graphique visualisant les pressions atmosphériques présentait une pente toujours aussi descendante avec un angle de plus ou moins 30°. Bon, le port de Diélette n’était pas loin, et demain serait une autre journée.
L’arrivée de nuit à Diélette fut un peu stressante ; en effet, nous étions au début du flot, la hauteur d’eau était d’environ 4 mètres, et, si l’avant port a toujours plus de deux mètres de fond, il est défendu par un petit seuil dont la côte ne paraissait pas si bien défini que cela, avec des hauteurs différentes selon mes sources d’informations; heureusement ce seuil est en sable. Je m’avançais donc très lentement, et passait finalement avec, de mémoire 60 centimètres sous la quille. Une fois amarré, cap sur le premier restaurant ouvert, un restaurant de fruits de mer où je garde le souvenir d’avoir mangé, en plus de mes traditionnelles bulots, des frites faites maisons, rarissime.
Le lendemain, la MTO redoutée était bien présente ; que cela s’appelle "BMS en cours", coup de vent prévu ou tempête, le résultat est le même : mer forte et splendides vagues qui déferlent. J’ai fait passer farfa II de l’avant-port dans le port de plaisance, l’arrivée au ponton fut sportive avec un vent de travers très fort, j’ai soigneusement mis les pares battages entre la coque et le ponton et farfa II a commencé à s’appuyer de tous l’effort que lui transmettait le vent sur ces supports en plastique. Il est toujours surprenant de voir son voilier gité dans un port ; mais cela a été notre quotidien pendant … deux jours !!
Car ce coup de vent a duré deux pleines journées, deux jours à entendre le vent hurler, à voir les vagues déferler au dessus des jetées, à sentir farfa II plier sous les rafales et deux jours à essayer de s’occuper dans une ville dont on peut faire le tour à pied et où il n’y a vraiment pas grand-chose à faire.
Le matin du troisième jour, le vent s‘est, comme prévu calmé et je reste surpris que la mer se soit aussi rapidement calmé ; départ en début d’après midi pour aller franchir le raz Blanchard. Après deux jours de tempête, quel plaisir de naviguer de nouveau dans une ambiance estivale !
Et avec ce beau temps, la décision avait été prise de passer ce fameux raz avec le courant « au cul » et de bénéficier au maximum de l’effet tapis roulant. Deux heures après avoir quitté Diélette, nous voila près du phare du Nez de Jobourg, et nous ne serons pas déçus. En effet, les marmites, zones de tourbillonnants sont bien là et la surveillance du GPS nous permet de confirmer que notre vitesse s’est brusquement accéléré, nous sommes déjà à 8 nœuds, alors que les voiles flottent lamentablement.
Pas si simple de se sentir pousser par une eau qui a l'air si calme !! J’ai d’ailleurs rapidement affalé les voiles et mis le moteur en route au ralenti, juste pour rester manœuvrant. Au large, spectacle étonnant d’un voilier qui avait gardé son spinnaker et portait celui-ci à contre, ce spi gonflait à contre du voilier, du jamais vu.
Avec ce courant porteur, nous sommes arrivés comme une fleur à Cherbourg, en moins d’une heure, à une vitesse toujours comprise entre 8 et 9 nœuds sur le fond, moteur au ralenti à 1200 tours. Prise de ponton sans problème, je suis accueilli par un « matelot » de HEO (guillat) qui a repéré mon pavillon grand modèle ; et après un diner, comme d’habitude, au restaurant du club house nous irons prendre un digestif à bord de son feeling.
Pour l’avant dernière étape, Cherbourg Saint-Vaast, l’heure du départ est conditionnée par la marée, et nous sommes plusieurs sur le ponton, dont Nolica et guillat, à avoir prévu de partir en début d’après-midi pour prendre le flot et passer le raz de Barfleur comme une fleur ; les portes de Saint Vaast la Hougue ouvrant à 20h30 de mémoire, il n’est pas nécessaire de partir plus tôt.
Cette navigation s’est passé sous le signe du soleil et du vent mollissant ; sortie de Cherbourg vers 15 heures, voiles hautes 15 minutes plus tard.
J'en profite pour présenter au lecteur mon équipage
Un vent d’Ouest faiblard nous emmène vers Barfleur ; je hisse le spi mais ne gagne que peu de vitesse, de toute manière le courant fera le reste !
Arrive le phare de Gatteville et le raz de Barfleur ; ce raz est tout à la fois moins tumultueux et moins rapide que le Blanchard, on distingue bien des eaux tournoyantes mais la vitesse fond n’est accéléré que de 4 à 5 nœuds ; une fois le raz passé, et avec le vent qui passait de calme à pétoleux.
J’ai mis le moteur de manière à ne pas arriver trop tard. Ah j’oubliais, nous étions le 14 Aout, et je craignais d’avoir des problèmes de places de port et / ou de place de restaurant.
Alternative intéressante au niveau du passage du « Run » ; quand on vient du nord et que l’on veut entrer dans le port de Saint Vaast la Hougue, il y a deux solutions ; soit faire le tour de l’ile de Tatihou par le sud, soit couper au plus court entre cette ile et la terre par le passage dit du Run ; il faut savoir que ce passage est tout entier consacré à l’ostréiculture, et j’avais pu voir deux semaines avant le nombre de casiers à huitres. Mes instructions nautiques sont divergentes sur ce point ; le pilote côtier affirme que cela est possible à partir de mi-marrée alors que le Cunliffe le déconseille. Je rejoins le bateau en bois moulé basé à Saint Vaast avec lequel j’avais pris l’apéritif à midi et lui demande son avis, il me répond qu’il n’y passe jamais. Je fais donc le grand tour. Je découvrirais plus tard, sur Hisse et Oh, que ce passage du Run est parfaitement fréquentable, à partir des coeff de 70, et plus ou moins heures de la plein mer.
Nous sommes entré dans le port de Saint Vaast 21 heures passés, et nous étions au moins une dizaine de bateaux, dont la majeure partie venait de Cherbourg, à nous présenter plus ou moins en même temps, chacun essayant de trouver une place et de places il n’y en avait plus. Comme j’étais sur de partir le matin à la première heure, je pris la décision d’aller musarder sur les places de propriétaires, et trouvait une place libre ; à la grâce de Dieu !
Aller au restaurant un samedi 14 Aout à 22 heures aurait ou être difficile, heureusement, le restaurant du port, juste en face des pontons avaient encore deux places de libre, que nous primes de suite, et cela malgré le fait que la moitié du menu n’était plus disponible.
Le lendemain, départ au plus tôt, à l’ouverture des portes, vers les 8h30 de mémoire. Nous avons retrouvé dans le chenal le matelot Guillat, qui avait fait la veille la même route que nous, et qui repartait vers Carentan. La MTO était favorable, avec une prévision de vent de Sud dans les 15 à 20 nœuds. En effet, durant la première heure, nous avons eu ce vent légèrement tonique. Malheureusement, la suite ne fut pas aussi favorable, et le vent a eu plutôt tendance à baisser et surtout à s’orienter vers le Sud-est, ce qui fit qu’à la place d’un vent de travers rapide, nous eûmes du près / bon plein.
Je garde aussi un souvenir décevant de ce retour, car j’ai eu l’impression d’avoir eu toujours le courant dans le nez ; en effet, sur un Saint Vaast Deauville de 10 à 12 heures, on a habituellement un équilibre entre les périodes de courant « dans le nez » et « portant » ; et bien je n’ai pas eu l’impression dans eu la dose habituelle de portant, un vrai mystère ; j’ai après émis l’hypothèse d’avoir peut-être eu un courant plus fort que d’habitude venant de la Seine.
Enfin, depuis ces contrariétés, et pour avancer plus vite car mon équipage souffrit beaucoup du mal de mer sur ce retour, je n’hésitais pas à mettre le moteur pour augmenter la moyenne. Mais nous sommes arrivés à Deauville que vers les 9 heures et demi, ce qui fit un plus long que d’habitude et plus que les prévisions.
Sitôt arrivés, direction le Pirate pour un bon repas, avec des petites soles pour ma fille. Il n’y eut qu’une petite soirée Casino, juste pour visiter ; en effet la fatigue se faisait sentir et il fallait rentrer le lendemain par le train avec départ à … 7h30.
En rentrant est arrivé ce que nous avions craint depuis plus d’une semaine, le chat est tombé à l’eau ! Heureusement, comme il était attaché au bout de sa laisse qui faisait office de harnais, il fut facile de le faire remonter à bord.
Voila, la croisière 2008 était terminé, elle fut marqué par la très grande différence entre ce que j’avais prévu et ce qui finalement fait, mais j’en garde un excellent souvenir !!
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